Version vidéo : ICI

Voilà ! Vous avez un chien, et tout se passe assez bien avec lui, sauf… Sauf quand vous n’êtes pas là ! Après tout, ce qui se passe quand vous n’êtes pas là pourrait vous être relativement indifférent, puisque précisément… vous n’êtes pas là !

Les voisins doivent apprécier…

Oui, mais… Si vous n’y êtes pas, ce n’est pas toujours le cas de tous vos voisins, et ils ne sont pas tous sourds. Or le problème, c’est que très rapidement, dès que vous avez le « dos tourné », votre chien se met… à gémir ! À gémir, à hurler, à pleurer, bref, ce sont souvent de longues plaintes, quasi désespérées, et dont le son porte fort loin, une cacophonie particulièrement désagréable et incommodante pour tout votre environnement ! En fait, pour le dire simplement, proprement insupportable, et de nature à provoquer l’exaspération de tous les habitants de votre immeuble, sinon de votre quartier.

Si vous ne faites rien, viendront les plaintes, les pétitions, et autres soucis !

Soyons clairs : voilà une situation que vous ne devez pas accepter !

Vous ne devez pas l’accepter, en priorité, non pas tant pour vos voisins que pour le chien lui-même ! C’est que ces cris ne sont que la manifestation physique d’un profond désordre psychique, désordre psychique qui ne pourra aller qu’en s’aggravant toujours plus, dégénérant peu à peu en véritable hystérie. Et ne vous faites pas d’illusions, plus vous attendez, plus la « guérison » risque d’être délicate ! Par ailleurs, cette excitation incontrôlée n’agit pas seulement sur le psychisme de l’animal, elle finit par l’épuiser physiquement, au point d’agir de manière négative sur sa santé même.

Vous ne devez pas l’accepter, de plus, pour tous les autres chiens ! Si vous avez un chien, il y a fort à parier que vous aimez les chiens, et que par conséquent vous souhaitez que votre environnement partage votre inclination. Vous ne voudriez donc pas qu’à cause du comportement de votre compagnon, des quantités de gens en viennent à prendre l’espèce canine dans son ensemble en grippe ! Et c’est pourtant ce qui risque de se passer, avec des conséquences tout à fait dommageables : savez-vous que dans certaines capitales en Europe, les chiens sont tout simplement interdits ! Et c’est aussi le cas dans certains endroits où certains immeubles de notre pays ! Vous ne souhaitez certainement pas œuvrer pour la disparition du chien, n’est-ce pas ?

Enfin, dernier élément à prendre en compte : tôt ou tard, un voisin plus ou moins bien intentionné prendra langue avec une association de protection, qui ne manquera pas de juger que laisser un chien « pleurer » des journées entières est une forme de « mauvais traitement », et, d’une manière ou d’une autre, vous perdrez la garde de votre compagnon !

Donc, d’une manière ou d’une autre, vous devez réagir ! D’ailleurs, vous en êtes persuadé, puisque vous avez décidé de lire ce présent guide !

Vous devez réagir, et vous pouvez le faire : c’est ce que nous vous proposons de découvrir avec nous !

Nous allons commencer par éliminer les solutions qui ne marchent pas, et sur lesquelles, par conséquent, il vaut mieux ne pas compter.

Puis nous essaierons de démonter les mécanismes qui peuvent conduire un chien à adopter ce comportement hautement indésirable.

En effet, nous découvrirons ensuite, ensemble, que contrairement à votre intuition, et à celle du plus grand nombre, votre chien n’est pas « programmé » pour ne pas tolérer les moments de solitude, mais tout au contraire pour les accepter avec une assez grande facilité !

À partir de là, le « traitement » de l’anomalie comportementale (oui, il s’agit bien d’une anomalie) se devine : il faudra tout simplement effacer du « disque dur » des comportements acquis indésirables, pour revenir à la programmation initiale.

Cette reprogrammation passe par quatre étapes que nous détaillerons, des étapes simples, qu’après la lecture de ce livre vous serez à même de mettre en œuvre facilement, et qui vont vous conduire au succès.

Vous conduire au succès ? Oui, c’est certain, mais à condition d’avoir effectué un petit travail sur vous-même, et sur votre manière d’envisager votre relation avec votre chien, en apprenant à voir le monde en général, et votre environnement en particulier, non plus avec votre regard, mais avec le sien ! C’est en effet la condition essentielle de votre succès, et c’est pourquoi nous aborderons cette question juste avant celle des étapes de la « guérison » : la reprogrammation comportementale !


0 commentaire

Laisser un commentaire

Emplacement de l’avatar

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *